Ça alors ! Quelle nouvelle, quel évènement planétaire ! Les grandes oreilles ricaines nous écoutent, nous matent, nous espionnent, nous trient et nous mettent en boîte ! Nom d'une pipe, le scoop ! Les commentateurs journalistiques s'en sont donné à cœur joie sans omettre d'utiliser un tas d'adjectifs préférables  à "bande de salopards" parce que ça ne se fait pas que de mal traiter le fameux "nos amis états-uniens". Pour une fois qu'ils ont réussi à trouver un peu de vocabulaire les bavasseurs de radio, on ne va pas se plaindre.

Alors comme ça c'est nouveau, ça vient de sortir ? Z'ont encore perdu la mémoire les gensses de l'info, ils ont déjà oublié le scandale "échelon" précédente mouture du système international d'écoutes diverses. Et même qu'il parait que l'espionite a atteint les plus hauts niveaux du pouvoir européen en écoutant le Conseil et certains parlementaires… ben c'est pas gai la vie d'espion à écouteurs obligé de surprendre les ronflements des endormis supra-nationaux, ha ……

Nous, on n'écoute pas… Ah ça non, on n'est pas comme ça nous autres français. Il est recensé pour notre territoire dix-sept fichiers divers de flicage plus le machin Hadopi (soit-disant aboli, faut voir…) qui piste les télé-chargeurs compulsifs sans compter les organismes privés qui ne se gênent pas pour choper les infos que l'on transmet en surfant sur le net sans être inquiétés le moins du monde. Comment ? Quoi ?… Vous dites ?……… la CNIL…  Ah oui, la CNIL…  Ça vous arrive de l'entendre émettre un léger doute sur le flicage généralisé sans autorité judiciaire pour superviser la manœuvre ? La belle hypocrisie que de crier haro sur l'amerlot quand chez nous le patron d'un grand magasin, dealer de kits censés devenir meubles, rémunère en loucedé des pandores qui farfouillent dans des fiches à la légalité douteuse pour informer sur les us et coutumes des futurs salariés ! Un précédent président, qui a occupé le trône deux fois de suite, agrémentait ses soirées à suivre les conversations téléphoniques de quelques personnalités, fallait vraiment qu'il s'emmerde le type pour en arriver à se contenter d'un si vil loisir. Et puis nos services secrets n'écoutent t-ils jamais rien ni personne ? Allons donc ! 

Tous les pouvoirs ont, de tout temps, utilisé l'espionnage pour savoir ce que pense le voisin, l'ennemi, la populace ; il suffit de lire "le secret du roi" de Péan pour se rendre compte que le père Louis XV avait, attachée à sa personne, une bien belle organisation secrète efficacement tenue par les frères De Broglie. Certes hier,  il fallait placer des hommes sûrs, espérer que le camp d'en face ne les retourne pas, attendre que la pêche soit fructueuse et arrive scellée dans les bonnes mains. Les méthodes étaient risquées, longues et coûteuses. Aujourd'hui de grands filets informatiques chopent tout ce qui passe sans distinction à peu de frais et sans grands risques. Et alors ? Alors rien… Rien ne change que les moyens et plus il y a d'informations à traiter, trier, mettre en liste et ranger, plus il y a risques d'erreurs, bref au plus que moins c'est simple, au plus que ça se complique.

La question des moyens, je m'en bats l'œil avec componction ! Pourquoi personne ne pose la question de pourquoi des écoutes et des flicages ?

En v'là des grandes oreilles bien d'chez nous !

gdes oreilles NB site13383

 20 juillet 2013

 

 

 

 

Une fois n'est pas coutume, mes trois références en matière de définition des mots de la langue française sont d'accord sur les significations pour celui-ci ; or donc ça commence par la fonction généraliste : " Action de tromper, d'abuser autrui en contrevenant aux règlements, d'employer la ruse pour le mystifier" c'est déjà bien chargé ! Concernant le droit civil on trouve : "Acte accompli en vue de porter atteinte délibérément aux droits et intérêts d'autrui" ça doit faire mal quand on passe devant le juge. Puis une dont je n'ai jamais entendu causer, la fraude pieuse : "Ruse employée pour un bon motif" serait-ce donc que les pieux suppôts de religion emploieraient des ruses ? Oh……… C'est usité en droit pénal pour : "Tromperie, acte de mauvaise foi par lequel on lèse quelqu'un en se soustrayant aux règlements." Ouille……

Bien, alors…

Comment est-ce que ça se fait-il que quand un mecton, haut placé et en charge de faire rempart aux fraudes de surcroît, patauge dans le pot de mélasse grand modèle tout le monde s'empresse de tournicoter la chose en menterie ? Donc le gars se fait une grosse pelote qu'il envoie chez les suisses qui ont des îles paradisiaques pour planquer l'oseille qui ne veut pas se faire effeuiller par l'impôt, ou alors ils sont copains avec des gars des îles en question, bref une bonne planque… des tas et des tas et des tas de sous qu'il a fait passer en loucedé hors les griffes du trésor public, c'est un menteur. N'y a t-il pas fraude ?

De dénégations en emberlificotages, de menaces en bouche cousue, l'a quand même fini par lâcher le morceau : " oui alors voilà… j'm'ai gouré, j'aurai pas dû… " et patin et couffin et ça dure… ça dure…… la part d'ombre, toussa-toussa… pffff…… son refourgue en communication a dû lui pondre un discours de contritions diverses débitées d'une voix atone et sans conviction pour le peu que j'en ai entendu. N'y a t-il pas fraude ?

Avant de faire politique comme boulot, il faisait dans l'esthétique… ça rapporte l'esthétique… qu'il ait gagné beaucoup de sous n'est guère étonnant mais de là à faire glisser des possiblement énormes pacsons de picaillons gras, hum…… N'y a t-il pas fraude ?

D'aucuns, des mauvaises langues à n'en presque point douter, racontent à qui veut bien prêter l'oreille qu'il y a des présomptions de versements occultes ou pas légaux… bref, pas clairs et nets de la part de l'industrie pharmaceutique qui aime rien tant que d'arroser les mectons utiles à son avancement. N'y a t-il pas fraude ?

Et bien, non, non, trois fois non ! Il y a mensonge… hou le mensonge c'est pas beau, c'est très vilain même… Et de la part d'un chargé ministériel c'est encore pire, ah le lascar il a menti ! Et à tout le monde droit dans les yeux !… Décidément c'est vraiment pas joli-joli tout çà !

N'y a t-il pas fraude ? Mais non qu'on te dit sale goupil toujours en train de fouillasser des poils de cul de grenouille dans une mare à sec !!!  Il y a men-son-geuuuu , faut te mettre ça dans la tronche ! Le mensonge, et bien ça n'est pas interdit ni passible d'aucune juridiction… champagne !

J'en ai entendu des mures et des pas vertes sur les sommes planquées en question ; pour la plus modeste des suppositions, cela représente pour un travailleur 42 ans de paie au salaire minimum légal soit le revenu d'une vie entière de labeur honnête et mal payé, fichtre c'est pas rien !

Il n'y a pas fraude… Ah bon…

Il te leur a mis une de ces paniques à ses copains le menteur ; et tout le monde de se précipiter sur les micros des friands médias pour raconter sa vie modeste, ses vélos pourris, ses bagnoles hors d'âge. Et de soutenir mordicus qu'il n'y a pas fraude à coup sûr mais plus que probablement gros mensonge…

Eclat de rire salvateur… parce que là, on touche le fond hein, mieux vaut en rire.

Le petit président s'est employé à reprendre ses troupes, les a bien admonestées et a promis le déballage général des patrimoines ; ça c'est chouette alors ! Les gens qui s'emmerdent, les méchants, les aigris, les jaloux… bref les bas-du-sentiment se précipiteront sur ce brouet histoire de ragoter sur les puissants. Hélas pas une ligne de prévue pour étaler les comptes occultes dans les paradis fiscaux, c'est ballot. Tiens, au fait ? Le précédent petit président n'avait t-il pas fait une martiale déclaration comme quoi les paradis fiscaux, c'était fini et ni et ni-ni ?  Un mensonge encore ? Oh………

Tempête médiatique qu'a tout balayé sur son passage, plus aucun autre sujet n'a compté sur notre jolie planète bleue.

Côté piailleries politiciennes, je m'attendais au show-biz habituel ; la fronteuse qui hurle au "tous-pourris-je-vous-l'avais-bien-dit" les droiteux mous qui disent que c'est pas bien et que ça fait pleurer le petit jésus, les droiteux durs qui éructent que c'est pas chez eux que ça arriverait. Bah non finalement, quelques mots pas sympas et puis baste. En grattant un peu on s'aperçoit que l'avocat doué pour les placements est un intime de la fronteuse… bien obligée de faire museau la fille ; les droiteux durs-et-mous ont bien râlé mais pas si fort qu'on aurait pu l'imaginer, serraient-ils les miches à l'idée qu'on leurs rappelle les quelques casseroles anciennes encore chaudes et les bouillantes à venir qu'ils se traînent aux basques ? Il n'y a eu que notre Bolivar des faubourgs pour nous rafraîchir la mémoire avec son "que se vayan todos" emprunté aux argentins qui se sont débarrassés des âpres accapareurs pour un temps ; que se vayan todos, ah que c'est une idée qu'elle est bonne et qu'elle chatouille agréablement mon oreille mais si c'est pour y substituer ses troupes qui rabâchent les discours communistes de la fin du siècle dernier, merci le renouveau ! Et puis lui qui a frayé pendant plus de 30 ans avec le petit président et ses potes, qui a été ministre avec tout ce beau monde pourquoi donc qu'il reste collé aux médias comme une arapède à son rocher ? Que se vayan todos, si ! A condition de mettre du neuf, du jeune… pas pour se fader les tromblons du programme commun qui rêvent de faire chef à la place du chef alors qu'on n'en a pas besoin !…  arf……

Aller un peu de bonne grâce : je veux bien admettre être presque convaincue qu'il n'y a pas eu fraude, un léger doute me taraude néanmoins. Un homme politique menteur… comment dire… voyons… tautologie, pléonasme ?

26 avril 2013

 

Un néologisme pas très nouveau dans le langage courant néanmoins beaucoup trop jeune pour entrer dans un de mes dictionnaires. Et non, pépé Littré ne pouvait pas le connaître ce mot mal foutu ! En un temps bien révolu de luttes acharnées pour une agriculture un peu plus sensée, beaucoup moins industrialisée, le mot fut inventé pour désigner toutes les merdasses que bricole l'industrie dite agro-alimentaire pour caler les estomacs pressés. Qui c'est qu'a causé malbouffe le premier ? On se perd en conjectures ; d'aucuns vous diront que c'est un petit moustachu qui eut son heure de gloire pavée de bonnes intentions… celle d'aller pantoufler et faire du lard dans un hémicycle européen, d'autres argueront que c'est la meute journalistique en manque d'un mot générique, tiroir, fourre-tout bien pratique pour ne rien dire comme à l'accoutumée. Bof, peu importe après tout, l'Histoire tranchera peut-être la question.

Mal c'est pas bien et bouffe c'est nourriture en langue fleurie ; pas-bien-nourriture… mouais… c'est vraiment un raccourci… pour faire court ! 

Pour le mot mal l'Université de Caen recense des tas de synonymes parmi lesquels : torture, supplice, souffrance, violence ; hébé, c'est pas rien ! A propos de bouffe, je n'ai besoin de personne pour trouver du pareil : boustifaille, cuistance, croûte, tortore et j'en passe. On pourrait ainsi faire dans l'imprononçable sans bafouiller : torture-tortore, souffrance-cuistance… ah ça irait pas mal cet assemblage et ça fait chic en rime mais c'est trop long, supplice-croûte… mouais… finalement il n'est pas si mal ce malbouffe ; maintenant qu'il est ancré dans le parler courant faut bien s'en servir sans rechigner, après tout c'est ainsi que notre langue évolue et se modernise, par la rue.

Elle est remontée à la surface la malbouffe à l'occasion d'une étonnante découverte, il y aurait du cheval dans des lasagnes industrielles, ah… Et c'est grave ? Ah ben oui ma p'tite dame, vous rendez-vous compte, c'est écrit bœuf sur la boîte et voilà t-il pas que c'est du cheval ! Graaaaaave !!!  Ah ? Pourquoi donc, c'est sain à manger le cheval… et puis si on commence à demander aux publicistes d'indiquer des vérités, ils disparaissent ces maroufles.

Après c'est le deuxième acte du drame, une avalanche de cheval inouïe ; dans les ravioli en boîte, dans les boulettes de chépakoi, etc… et pour toute l'Europe évidemment, les frontières sont ouvertes à tous les vents de la légalité aléatoire… une avalanche vous dis-je, il y en a dans tout sauf peut-être dans les pâtées pour chien. Je trouve assez rigolo que tout d'un coup l'on s'aperçoive que la bouffe industrielle est particulièrement trompeuse alors que ça a commencé il y a bien longtemps. Au début du siècle dernier la poudre à faire un liquide chocolato-banane ou bien le soit-disant fromage entortillé dans un papier alu à vache rigolarde avaient attaqué le marché. Ce marché qui n'a cessé de croître et embellir question bénéfices alors pourquoi se gêner hein ! Et c'est parti pour la longue litanie des saloperies emboîtées, pasteurisées, surgelées, "conservatisées".

Comment peut-on manger des trucs pareils ?

Ah mais les femmes travaillent, elles n'ont plus le temps de cuisiner et puis c'est pratique, vite sorti et réchauffé, pourquoi s'en priver ?

Et pardi ! parce que c'est insipide, pourri de sel, de farines, de graisse d'huile de palme fléau agricole s'il en est, il y a même du gel de silice coloïdal (dont je me sers dans des mélanges de résines synthétiques !) là-dedans pour épaissir la ragougnasse et bien agglomérer l'ensemble…… berkkkkk… Et puis… les hommes… ils ne peuvent pas s'y mettre à la cuisine ? D'un côté j'entends que mes congénères passent en moyenne trois heures par jour à mater un poste de télévision et ils n'ont pas dix minutes pour faire un hachis Parmentier ? Cornegidouille !

A la sonnerie du troisième acte, alors là c'est le pompon, ça n'était pas du cheval finalement, c'était du déchet de cheval ou d'autre bête peu importe… en tout cas des résidus de carcasses qui devraient se trouver chez l'équarrisseur et pas dans l'assiette, miam !

"Tu es ce que tu manges" qui qu'a dit ça ? Est-ce que ça a été réellement dit ? Admettons : si tu manges de la merde, tu es………  hééééé oui, joyeux n'est-ce pas.

Le quatrième acte n'est pas encore écrit. Eventuellement de mols coups de pieds par-ci par-là dans le derche de quelques dirigeants de filières industrielles. Ça ne leur fera pas bien mal et s'ils se sentent trop coincés par de nouvelles normes, ils feront du lobbying, du chantage à l'emploi et ces charmants personnages continueront à cracher du cash pour les actionnaires - ben oui, vendre au prix du bœuf, des résidus de carcasses ça rapporte - et de l'aïote* pour les consommateurs.

Je ne vois qu'une solution pour éradiquer ces saloperies classées bien à tort dans le rayon nourriture, ne pas les acheter ; Coluche en son temps avait dit quelque chose comme "et il suffirait de pas acheter pour pas que ça se vende".

Si les arguments plaisir de la table, partage et convivialité, santé, protection de l'agriculture nourricière ne suffisent pas à cesser d'engraisser l'industrie agro-alimentaire, se pencher un peu au fond du porte-monnaie peut être édifiant. Le "fait à la maison" est bien moins cher que le "tout fait" aux ingrédients douteux dont, de plus, on doit payer l'emballage qui ne se mange pas. Mes lasagnes me prennent vingt minutes de temps grâce aux pâtes pré-cuites, pour un Parmentier dix minutes grâce à la cocotte qui fait tuit-tuit et cuit les patates rapido ; j'écrase et bat la purée à la main, un vrai plaisir un peu sportif certes mais quoi… rien de ce qui s'obtient sans effort et réflexion n'est honnête ni bon.

Les notes à la marge de cette funeste farce sont formidables ; un marchand de choses qu'il appelle pompeusement meubles, vend aussi des boulettes dites de viande et des tartes à la crotte, ben quoi… c'est de la même couleur que le chocolat ! Faut dire que ce marchand est un joyeux coquin qui flique aussi bien ses clients que ses salariés. Suffirait de ne pas acheter pour………

Un très futé industriel a découvert le jambon de poulet, ah bon… le jambon est la "cuisse" d'un cochon et le poulet, c'est une volaille à si petites cuisses qu'il est bien impossible d'y découper une tranche ; qu'à cela ne tienne, on hache des résidus, on mélange, on colle au collagène le bien nommé et zou, dans l'emballage plastique l'aggloméré de bidoche blafarde. Ça existe aussi au goût dinde, comment une dinde élevée à la chaîne dans le confinement et les antibiotiques peut-elle avoir un goût ? Bah, un bon peu de sel, des arômes synthétiques et l'affaire est dans le sac. Suffirait de ne pas acheter pour………

Avec tout ça, je me suis penchée sur les compositions des soupes déséchées, arf……… J'ai découvert dans un rayon de super-machin de la pâte à crêpes toute faite emballée en brick ou en sachet plastique ! M'enfin ??? Ça prend trois minutes à faire une pâte pour quinze crêpes et ça ne coûte qu'un peu de farine, deux œufs et un peu de lait. Suffirait de ne pas acheter pour………

Baste, je ne raconte pas tout et puis j'ai cessé les investigations, j'avais une indigestion de colorants, d'huiles insaturées, de gomme de truc et de machin rien qu'à regarder les compositions. Question emballage outre que c'est du déchet ultime de naissance, je me suis bien marrée des conneries avancées par les publicistes : c'est "fermier", "paysan", "bistro", "berger", "grand-mère" avec de beaux photo-montages illusoires. Quand vraiment il n'est pas possible d'invoquer les images d'un passé fantasmé, il suffit de coller une photo de vedette qui se pourlèche et le tour est joué… le pire c'est que ça marche puisque ça perdure ! Suffirait de ne pas acheter pour………

Au registre des dégâts collatéraux, une vieille affaire ressort des placards judiciaires où elle pionçait tranquille depuis 2008 ; des gens s'interrogent de savoir pourquoi et comment de la viande verte ou bleu, qui pue et se délite s'est retrouvée servie dans des cafétérias… hummmm, yabon comme dit la poudre choco-banane… les clients sont installés aux chiottes durablement.

Il semblerait qu'en Norvège ou au Royaume Uni, un contrôle ait découvert des morceaux de viande de porc dans des saucisses de poulet halal… alors ça, c'est la cerise sur le gâteau ! Grosse poilade !!!

D'ailleurs au concours cerise sur le gâteau, des partis dits de gauche pourraient bien défendre leurs couleurs contre l'halal au cochon ; ce troupeau de jobastres a voté une directive européenne autorisant la réintroduction de farines animales dans l'alimentation des bêtes d'élevage autres que les ruminants… youpi et vive les branleurs parlementaires !

Suffirait de ne pas acheter pour………

6 mars 2013

* l'aïote, c'est de la merde en papillotte en nissart ; à la cuisine, quand quelqu'un passe la tête par dessus mon épaule en susurrant : "et qu'est-ce que tu mijotes ?" je réponds invariablement "de l'aïote"… se marrent ceux qui connaissent la signification et sont perplexes ceux qui l'ignorent.